Le résumé de texte n'a pas tout à fait
disparu des référentiels de BTS. Il constitue en effet un exercice dont les
compétences restent majeures dans l'analyse et la maîtrise du texte argumentatif
. Celui-ci est régi d'abord par une progression logique qu'on pourra s'employer
à repérer voire à reformuler sous la forme d'un exercice spécifique de type
résumé.
Texte 1 :
Claude HAGÈGE. L'expression écrite, l'oral public, l'oralité spontanée
(Le Français et les siècles, 1987, éd. Odile Jacob.) Vous résumerez ce texte en
185 mots (un écart de 10 % en plus ou en moins est admis). Vous indiquerez
le nombre de mots que comporte votre résumé.
Complétez ce résumé de 185
mots en remplissant les espaces blancs par les mots-clés proposés.
Déconcertés par les campagnes
d'intoxication des médias sur la « baisse de niveau », les maîtres
eux-mêmes, auxquels cette baisse ne manque pas d'être imputée, n'ont
d'autres issues que les risques opposés d'un rigorisme sécurisant mais
réducteur, ou d'un laxisme blasé. Fuyant le dialogue, les plus hésitants
d'entre eux en viennent à monologuer des règles, même s'ils savent combien
il importe de demeurer à l'écoute de la langue des écoliers. La contrainte
de ces règles, en muselant la créativité expressive, livre sans défense le
pauvre francophone de base à l'anglomanie inventive des marchands.
L'enseignement traditionnel ne redoute rien autant que l'irruption des
styles parlés dans le style écrit; toute invention est jugulée par la
crainte d'user de mots « qui ne sont pas dans le dictionnaire ». Certes,
on trouve de fortes variations individuelles d'une école à l'autre, mais
il est souvent vrai que l'école autoritaire, en condamnant au silence les
élèves qui seraient tentés d'écrire comme ils parlent, prépare le terrain
à ceux qui ne craignent pas de parler pour vendre. La captation féconde de
l'oral cède le pas à l'imposition de l'écrit, contrôlable et aisément
corrigible. Que convient-il de faire, dès lors ? Il ne s'agit pas ici de
préconiser une démagogie à courte vue, ni, évidemment, d'encourager les
élèves, surtout ceux des milieux sociaux les plus défavorisés, à écrire
comme ils parlent. Il convient, en fait, d'enseigner la langue écrite,
mais sans culpabiliser l'écolier par la disqualification des registres
oraux. Il s'agit de laisser ceux qui le veulent s'exprimer d'abondance et
sans contrainte, mais en les prévenant de l'importance de la norme écrite
qu'on leur enseigne, en leur faisant apparaître que ceux qui la dominent
sont le plus souvent assurés des meilleurs emplois, sinon de l'autorité,
là où leur profession les situera. L'entreprise exige d'autant plus de
finesse que si l'école doit assouplir ses procédures, elle ne doit pas,
pour autant, abandonner le pouvoir qui était traditionnellement le sien.
Ce serait ouvrir largement le champ aux contre-pouvoirs qui ont mis fin à
son monopole dans l'enseignement du français : publicité, presse écrite et
audiovisuelle.
L'action de ces contre-pouvoirs est justement à l'origine d'une confusion
contre laquelle l'école doit réagir : non seulement celle-ci doit enrichir
l'expression de l'enfant en ne négligeant pas, au profit d'une compétence
passive de l'archaïsme (mots de l'explication de textes) ou de
terminologies spéciales que l'écolier domine mal, l'acquisition de la
langue moderne et du dynamisme de son usage courant, mais encore elle doit
l'aider à prendre conscience d'un changement de statut du français parlé.
En effet, les médias audiovisuels, du fait qu'ils mettent sur le même
plan, dans les programmes et les répartitions d'horaires, les genres oraux
très formels, comme les informations ou les discours présidentiels ou
ministériels, et les genres informels, comme l'entretien avec un coureur
cycliste, pratiquent l'amalgame entre deux niveaux très différents de
français non écrit. Autrefois, cet amalgame n'existait pas. On était
conscient de deux oppositions : non seulement entre le français parlé et
la langue écrite, évidemment, mais encore entre le français parlé et
l'oral public, qu'il se manifeste dans l'éloquence de la chaire et du
prétoire, au théâtre, dans l'enseignement ou aux tribunes d'assemblées
politiques. Proche de l'écrit, l'oral public doit être présenté aux
écoliers comme un registre tout à fait différent de leur oralité
spontanée, et dont ils doivent apprendre a se servir en cas de besoin.
L'enseignement des moyens linguistiques d'accéder à la vie où chacun
s'accomplira doit être dispensé avec réalisme, certes, mais aussi avec
tolérance et sans terrorisme. C'est là un moyen indirect, mais un moyen
efficace, pour contenir les vagues publicitaires. Car il n'est d'autre
choix, lorsque l'on est pris par la crainte du couperet rectificateur, que
de s'effacer devant les trousseurs de nouvelles à sensation et les auteurs
de réclames les plus doués. En effet, ces derniers, même s'ils ne
prétendent à aucun magistère de langage et se soucient peu d'être des
autorités littéraires, même s'ils n'accréditent dans l'usage qu'un petit
nombre de leurs créations, sont libres, eux, d'inventer de la parole sans
contrainte.
Pour pallier la baisse
de niveau, les pédagogues doivent choisir entre la
et
le
.
Certains préfèrent
à
l'écrit l'usage de la langue parlée, mais cela risque de
la
libre
.
Quelle attitude adopter ?
Il ne s'agit pas de tomber dans la
mais d'éviter de rendre
les
registres oraux, sans laisser oublier que la pratique de l'écrit reste
dans l'exercice des meilleures professions. L'école doit maintenir son pouvoir
en face de la
des
médias et dissiper la
qu'ils ont provoquée.
Le français parlé a, en effet, acquis un
nouveau du fait qu'on ne sait plus distinguer l'oralité
de
l'interview et une
oratoire que les écoliers doivent apprendre à
.
L'enseignement de la langue doit être dispensé avec
.
C'est un moyen de
les
modes publicitaires, car si l'on craint sans cesse d'inventer son langage, on
n'a plus qu'à s'incliner devant la publicité et la
qui, elles, peuvent sans complexes
leur langue.
Texte 2 : Claude ROY. L'apothéose du mot communication.
(Télérama, 12 juin 1985). Vous résumerez ce texte en
18O mots (un écart de 10 % en plus ou en moins est admis). Vous indiquerez
le nombre de mots que comporte votre résumé.
Complétez ce résumé de 180
mots en remplissant les espaces blancs par les mots-clés proposés.
Les mots, les pauvres mots ont de
grandes douleurs. On ne peut pas dire qu'ils souffrent en silence,
puisqu'ils sont paroles. Mais ils souffrent. On les met à tous les usages,
on leur fait tout dire, et le contraire de tout, on les met au service du
noir et du blanc, de la vérité et du mensonge, de la paix et de la guerre.
Il arrive même qu'ils en perdent la tête, c'est-à-dire le sens. Qu'ils en
perdent même la vie : il y a des mots qui ont tant servi, et à de si
drôles d'usages, qu'on n'ose plus les utiliser.
Sans aller jusqu'à cette extrémité, périr en services commandés, les mots
ont une histoire. Prenons le mot communication. Il y a une vingtaine
d'années, c'était un terme auré de mélancolie et de déréliction. Il
résonnait en mineur, comme un andante à fleur de larmes. Le drame
d'exister, c'était que la communication entre les êtres est impossible.
Tous les vivants sont des captifs solitaires, murés dans des cellules
bétonnées ou des in pace profonds. Vanité des vanités, tout échange
entre « existants » n'est que vanité. Malentendu des malentendus, tout
n'est que malentendus. Alas, poor Yorick, la communication est
coupée ! La mode intellectuelle était de prononcer le mot communication
sur un ton à mi-chemin du chant funèbre et de la dérision.
On pourrait objecter que nous souffrons ou nous réjouissons peut-être
davantage d'un excès de communication que de son insuffisance.
Communication verbale et communication sans mots nous entourent et nous
assaillent sans relâche. Le visage muet et douloureux de cet inconnu, dans
le métro ou le train, nous communique sa détresse. Le sourire de soleil de
cette jeune fille dans la rue nous communique son allégresse. L'univers
est une perpétuelle station émettrice de messages, une gigantesque
entreprise de communication : les humains communiquent entre eux (parfois
trop), les animaux, les plantes et les étoiles n'arrêtent pas de nous
faire des signes.
Quand les sémiologues ont pris la relève des existentialistes, la
communication a tout de même repris du poil de la bête. Comme nous sommes
toujours tentés de corriger un excès par un autre excès, on serait plutôt
passé du manque de communication au trop-plein de signification, et de la
déploration de notre solitude aux joyeux délires d'interprétation. Tout
parle, tout veut dire, tout communique, et le fétu de paille dans le vent
attend son interprète qui traduira son message (souvent un charabia).
Dans l'usage quotidien, le mot communication est passé de l'ancienne
tonalité de glas, du personnage de Beckett prisonnier jusqu'au cou d'une
jarre ou d'un tas de sable, à une sonorité de joyeux clairon, au sourire
épanoui du héros de la Communication. La Communication englobe tout, la
parole et l'image, le locuteur et le câble porteur, le signifiant,
l'insignifiant et le signifié, les médias et l'immédiat, le ministre de la
Communication et la communication du ministre, l'émetteur et l'émis. Il y
a dans les journaux des rubriques « Communication ». On forme des
spécialistes de la communication. Devant un patient qui souffre de mutisme
persistant, le Docteur Tans Pis et le Docteur Tant Mieux opinent en chœur
: « il a un problème de communication ».
Il n'est pas très certain que cette apothéose du mot communication
corresponde à un progrès dans la réalité. Un des aspects dé cette
Société du Spectacle qu'a décrite et analysée Guy Debord, c'est la
Communication-Spectacle, pratiquée sur les mille formes de
l'interviouve, de l'entretien, de la table ronde et du « colloque »,
dans la presse, à la radio, à la télévision, à l'université. J'ai
longtemps cru que le rêve qui poursuit toute leur vie les anciens
étudiants, le rêve de l'examen, (on vous pose une question que vous ne
comprenez pas sur un sujet dont vous ignorez tout), était le prototype
de la situation angoissante. La réalité propose pourtant un type de
situation peut-être pire : l'interviouveur qui, sur un sujet qui ne
l'intéresse pas, qu'il ne connaît absolument pas et qu'il est bien
décidé à ne jamais connaître, nous pose une question qui n'a aucun sens
et à laquelle il souhaite qu'il soit répondu en trente-deux secondes,
dans un flash aveuglant de communication-bidon.
Quand on a eu la sottise de se mettre dans cette situation-supplice, en
revanche quel plaisir (rare) : trouver un interlocuteur qui n'est pas un
interviouveur, avoir en face de soi quelqu'un qui, au sens littéral et au
sens général, a « étudié la question », sentir un intérêt, une curiosité
vraie, et s'entendre poser ces questions qui sont le contraire de la
fausse question définie par Robert Musil : « Une question mal posée, à
laquelle on ne peut répondre ni par oui, ni par non, ni par rien. »
A l'enseigne de la Communication, toute ne communique pas, hélas, ou bien
ce qui est « communiqué » n'est que fausse monnaie, poudre aux yeux et
paille des mots. Mais quand l'envie de connaître et la possibilité de
savoir se retrouvent, est-ce que cela ne porte pas d'autres noms que communication
? Des noms assez beaux : conversation, échange, dialogue, rencontre ?
A force d'utiliser les mots
sans
, on
finit par les priver de sens, et même par les condamner à mort. Il en est ainsi
du mot communication. Il était entouré naguère encore de
désespérées par lesquelles on signifiait la fatale
des
êtres. C'est d'ailleurs plus la
des
messages qui pose problème que leur
,
car tout est signe autour de nous et tout a son langage.
Avec la
, la
communication est devenue une
et
tout le monde, de l'homme politique au savant, s'est mis à
le
moindre langage.
Gardons-nous de nous en
.
Notre société a fait de la communication un
qui
met souvent sur la scène des
chez
qui l'indifférence le dispute à l' .
Quelle joie, au contraire, de rencontrer quelqu'un qui allie l' à
la !
Le mot communication cache beaucoup de
.
Mais quand la
et
l' se
réalisent, n'y a-t-il pas des mots plus beaux que communication pour les
?
Texte 3 : David VICTOROFF. Portée culturelle et sociale de la publicité
(La publicité et l'image, éditions Denoël Gonthier, 1978). Vous résumerez ce texte en
19O mots (un écart de 10 % en plus ou en moins est admis). Vous indiquerez
le nombre de mots que comporte votre résumé.
Complétez ce résumé de 190
mots par les mots de liaison (cases encadrées) ou les mots-clés (espaces
blancs).
On ne peut limiter l'étude des
effets de la publicité à l'examen de ses répercussions sur la vie
économique. Débordant largement le secteur de l'industrie et du commerce,
la publicité exerce son action dans bien d'autres domaines. On sait ainsi
qu'elle marque de son empreinte aussi bien nos villes que nos campagnes,
transformant par là profondément l'environnement quotidien de l'homme
moderne. On connaît aussi l'influence qu'au scandale des puristes elle
exerce sur la langue. On a pu constater également que l'emploi des
procédés publicitaires tend à modifier non seulement le style des
campagnes électorales, mais encore les mœurs de la vie politique
elle-même. On a maintes fois souligné, par ailleurs, les liens étroits
existant entre la publicité et la culture de masse. Tout porte, en effet,
à croire qu'il y a entre elles un jeu complexe d'influences réciproques,
encore mal élucidé dans le détail, mais dont on peut aisément discerner
les lignes de forces majeures : tout en se nourrissant de la culture de
masse, la publicité joue en retour un rôle important dans sa formation.
De façon plus générale, la publicité semble contribuer à façonner la
mentalité de nos contemporains, ne serait-ce que dans la mesure où elle
intervient de manière décisive dans la genèse de certaines représentations
spécifiques, connues sous le nom d'images ou de stéréotypes de marques. On
entend par ce terme l'ensemble des attitudes, représentations et
sentiments qui, dans l'esprit du public, sont associés, de façon
relativement stable, à une marque commerciale. Des études conduites par
des psychologues sociaux ont permis de découvrir et d'analyser un grand
nombre de ces images, correspondant soit à des produits (tricots Rodier,
montres Oméga, etc.), soit à des services (hôtels Sheraton, BNP, etc.).
La plupart des travaux récents consacrés à la publicité mettent en relief
cette notion d'image de marque et soulignent que c'est sans doute le
concept le plus important qui se soit dégagé de la recherche dans ce
domaine. On a pu montrer que les stéréotypes de marque sont des
représentations collectives fortement valorisées, généralement cohérentes
et stables. Chargés d'idéaux, d'aspirations, de sentiments obscurs, ils
s'apparenteraient dans une certaine mesure aux mythes des peuples
archaïques. On a pu ainsi avancer que la publicité aboutit à l'émergence
d'une sorte de mythologie moderne, mythologie de l'objet quotidien. En
tout état de cause, on sait maintenant qu'il serait vain d'essayer de
comprendre comment l'homme d'aujourd'hui perçoit et juge le monde où il
vit sans prendre en considération cet univers d'images stéréotypées que la
publicité fait surgir autour de lui.
Toutes ces considérations permettent à bon droit de supposer qu'à côté de
sa fonction manifeste, essentiellement économique, dont le rôle resterait
en définitive relativement limité, la publicité remplit des fonctions
latentes dont la portée au niveau de la mentalité collective serait
beaucoup plus étendue. Quelles sont au juste ces fonctions latentes de la
publicité ? Plusieurs réponses ont été avancées.
C'est ainsi que, pour certains, les fonctions latentes assumées par la
publicité seraient d'ordre moral et culturel : la publicité contribue à
créer à la place du système ébranlé des valeurs traditionnelles une table
de valeurs nouvelles, dont les notions clés seraient le bonheur, la
jeunesse, l'abondance, le progrès, le loisir. Parallèlement, elle propose
des modèles de comportements conformes à ces valeurs nouvelles et façonne
ainsi le style de vie propre à notre civilisation. Pour d'autres, la
fonction latente essentielle de la publicité serait d'ordre psychologique
: son rôle serait de combler le vide sentimental créé par le dépérissement
de la foi religieuse et les idéologies politiques. En prodiguant ses
égards et sa sollicitude, en personnalisant ses rapports avec le public,
en valorisant les objets qu'il met en vedette, le message publicitaire
apporte un peu de chaleur dans un monde qui en manque singulièrement. Pour
d'autres, enfin, la fonction latente majeure de la publicité serait
d'ordre proprement social : la publicité serait un puissant facteur
d'intégration sociale. Son message, transmis par les grands moyens de
diffusion collective, contribue à la désagrégation des subcultures dans la
société de masse. Sur les ruines de systèmes de valeurs et de symboles
propres à des sous-groupes particuliers, il tend à faire surgir, notamment
par le biais des images de marque, des nouvelles valeurs symboliques,
communes à l'ensemble du groupe social.
Dans l'état actuel des connaissances, aucune de ces hypothèses ne peut
être considérée comme entièrement satisfaisante. Il serait cependant
difficile de sous-estimer l'intérêt de telles tentatives d'interprétation,
et il faut souhaiter que des chercheurs s'engagent plus à fond dans cette
direction, pour être en mesure d'apporter une contribution précieuse non
seulement à une meilleure connaissance du phénomène publicitaire, mais
encore à celle de la vie sociale d'aujourd'hui dans son ensemble.
La publicité
beaucoup
d'autres secteurs que l':
nous savons ainsi que son action modifie notre
,
agit sur notre
et sur les mœurs.
On a pu aussi mettre en lumière les rapports
qu'elle
entretient avec la culture de masse.
La publicité,
,
agit sur l'
du grand public par le biais des
souriants entretenus par certaines
marques commerciales. Ces
rappellent, par leurs désirs
, les anciens et permettent
de mieux comprendre l'homme moderne.
Ce rôle mais vaste de la publicité a été
analysé de diverses manières.
affirment qu'il est d'ordre : la publicité édifierait de nouvelles
sur les
des anciennes et pousserait chacun à s'y . lui
assignent plutôt un rôle
:
la publicité
un monde
par les
religieuses et politiques.
Il en est qui voient s'exercer les fonctions de la
publicité dans le domaine
: sa large diffusion menacerait les
et ferait naître des valeurs
.
Tout ceci reste , mais il faut poursuivre cette
de la publicité pour mieux
le monde moderne.
Placez dans ce résumé chacun
des termes proposés ci-dessous :
décombres - enfin - mythes - imaginaire -
sémiologie - social - langue - idéologies - conformer - d'autres -
concerne - économie - humaniserait - collectives - conjectural -
confus - clichés - certains - politiques - décor - marginalismes - en
effet - mutuels - appréhender - souterrain - déserté - psychologique - moral - valeurs -
représentations.