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A.
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VI.
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Il promena
les longues
les rêveries à cheval |
Puis il voyagea
mélancolie
promena mélancolie. la solitude
Il connut la tristesse des paquebots & des chambres d'auberges |
les froids réveils sous
la tente . .
gds
le vertige des sommets |
sur les plages sur les plages
Les longues rêveries à chevalp au milieu au bord des grèves
l’étourdissement idiomes & des ruines des peuples
désertes, l'ahurissement des ruines, des paysages – des costumes |
le
le vertige des &
la solitude dans
la foule |
des idiomes idiomes
vite entrevus, l'angoisse des départs, l'amertume des sympathies
peuples entrevus embarquements & le goût amer des séparations
br nouvelles, brusquement coupées. le goût amer des séparations
l’angoisse des embarquements
Il revint. il fréquenta le monde.
La Mle
Rosanette lui avait donné l'expérience des filles
encore
Me Dambreuse celle des bourgeoises. & il eut d’autres amours, mais |
mais les comparais
il
qui ne valurent pas
le premier & les comparant
à celui-là il les tr
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de Me Arnoux lui tous D’ailleurs l’intensité
le souvenir du premier les rendait insipides. – & puis la véhémence
l’intensité perpétuel elle-même véhem
du désir la fleur de la sensation était perdue. & ses ambitions
d’esprit également elle-même
d’esprit aussi La gloire comme
intellectuelles avaient également diminué. Pour créer une œuvre
comme le bonheur exigeait trop ......[illis.]....... |
semblait
lui paraissant
paraissant
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pr devenir heureux il fallait trop d'efforts - & les mois les
lui paraissant trop pénible difficile à obtenir
des années pénible
ans s’écoulèrent. Si bien qu'aux approches de la vieillesse il
il était tout résigné [illis.] avec patience à
supportait le désœuvrement de son esprit & l'impuissance de son cœur
résigné intelligence & à l’inertie
il était accoutumé au l’inertie de son cœur
s’habitua esprit & à l’impuiss
s’accoutuma |
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Nicole SIBIREFF |