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Analyse
des extraits |
Édition |
Chapitre |
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Martinon
loge pauvrement dans une pension bourgeoise, rue
Saint-Jacques. Il étudie le droit. En face de lui,
une femme en robe d’indienne reprise des
chaussettes. |
57 |
I, 3 |
Martinon est un fort
bel homme qui veut paraître sérieux. Son père,
gros cultivateur, le destine à la magistrature. |
57 |
I, 3 |
Il
mène une existence régulière et studieuse, et se
trouve heureux avec quinze cents francs par an et
l’amour d’une ouvrière. |
57 |
I, 3 |
Lors du rassemblement
des étudiants autour du Panthéon, il a peur d’être
compromis, et manifeste sa crainte de la police. |
63 |
I, 4 |
Martinon
a profité d’une occasion pour s’échapper de
l’émeute. |
64 |
I, 4 |
Lors de la première
réunion chez Frédéric, il est le seul à défendre
Louis-Philippe, puis il se tait, par crainte
d’offenser quelqu’un. |
90 |
I, 5 |
En
sept ans de collège, il n’a jamais eu de pensum,
et sait plaire aux professeurs à l’École de droit. |
91 |
I, 5 |
Un soir, sa tenue
vestimentaire exceptionnelle révèle qu’il a été
invité chez le banquier Dambreuse, qui a fait
affaire avec son père. |
91 |
I, 5 |
Tandis
que Frédéric est ajourné, Martinon réussit son
dernier examen. Sa famille connaît un ministre,
« une belle carrière » s’ouvre devant lui. |
91 |
I, 5 |
À l’Alhambra, Martinon
accompagne une femme d’une cinquantaine d’années,
laide, magnifiquement vêtue, et d’un rang social
problématique. |
107 |
I, 5 |
Martinon
a réussi son examen. Il continuera son stage en
province où il sera nommé substitut. |
119 |
I, 5 |
Réception chez
Dambreuse : Martinon, désormais attaché au parquet
de Paris, veille, dans sa tenue et ses attitudes,
autant à l’élégance qu’à la dignité. |
187 |
II, 2 |
Pour
Martinon, la République est impossible en France
et la Révolution n’est pas un sujet sérieux. |
187 |
II, 2 |
Il souhaite qu’on
raffermisse la Religion. |
188 |
II, 2 |
Galanteries
de Martinon à l’égard de Mme Dambreuse. |
190 |
II, 2 |
Dambreuse s’étonne de
la présence de Martinon parmi les intimes, invité
par Mme Dambreuse. |
190 |
II, 2 |
Au
cours du repas chez les Dambreuse, Martinon
affiche un air sérieux. Il s’informe de la santé
de Monsieur Dambreuse. Mais ses regards se
tournent vers Madame Dambreuse |
191 |
II, 2 |
Martinon sous-entend
qu’il a déjà séduit plusieurs femmes. |
191 |
II, 2 |
Frédéric
imagine avoir Mme Dambreuse comme maîtresse. Il
sourit de pitié en pensant à Martinon. |
191 |
II, 2 |
Cécile est au courant
de la venue de Martinon, ce qui semble déplaire à
Mme Dambreuse. |
216 |
II, 3 |
Aux
courses du champ de Mars, Martinon est avec M. et
Mme Dambreuse dans leur splendide landau. |
234-235 |
II, 4 |
À une soirée ordinaire
de Mme Dambreuse, Frédéric est mal accueilli par
Martinon. |
261 |
II, 4 |
Poses
de Martinon qui pérore parmi les femmes et fait
l’admiration de Cécile. |
261 |
II, 4 |
Mme D. semble adresser
des reproches à Martinon qui tâche de sourire. |
261 |
II, 4 |
Pour
Martinon, la misère est la faute des vices des
basses classes. Que le peuple soit plus moral et
il sera moins pauvre ! |
261 |
II, 4 |
Martinon, près de
Cécile feuillette un album de lithographies. |
263 |
II, 4 |
Martinon
prétend connaître fort peu Sénécal qu’il tient
pour un assez mauvais drôle. |
263 |
II, 4 |
Frédéric se demande si
Mme Dambreuse a un amant. Martinon ? Il éprouve
pour Martinon une espèce de jalousie et pour elle
une malveillance inexplicable. |
265-266 |
II, 4 |
Frédéric
attaque l’esprit, le caractère, la fausse élégance
de Martinon, un spécimen de paysan parvenu. |
290 |
II, 6 |
Martinon accompagne
Dambreuse dans sa visite chez Frédéric. |
320 |
III, 1 |
Après les journées de février 48, Martinon
pense qu’il faut se rallier franchement à la
République. Il met en avant son côté paysan et
homme du peuple. |
320 |
III, 1 |
Pour rencontrer Cécile,
il se livre à une manœuvre que semble favoriser M.
Dambreuse. |
323 |
III, 1 |
Frédéric
lit devant Dambreuse et Martinon le discours qu’il
a écrit pour sa candidature aux élections. |
323 |
III, 1 |
Le discours
révolutionnaire de Frédéric inquiète Dambreuse et
Martinon. |
323 |
III, 1 |
Martinon
pousse D. à se présenter aux élections dans l’Aube
pour le parti conservateur. Désormais il ne quitte
plus Dambreuse, devient son secrétaire et
l’entoure de soins filiaux. |
323 |
III, 1 |
M. Dambreuse prétend
s’être fait nommer représentant malgré lui.
Martinon confirme. |
339-340 |
III, 1 |
Remarque
ambiguë de Dambreuse sur l’absence de Cécile, sans
doute voulue par Mme Dambreuse. |
340 |
III, 1 |
M. Dambreuse, furieux
des concessions excessives faites aux
Républicains, porte un casse-tête dans sa poche,
imité par Martinon, qui le dépasse en violences. |
340 |
III, 1 |
Des
confidences de Cisy, Martinon déduit que Cécile
est un parti avantageux, sans doute la fille
naturelle de Dambreuse. Mais que faire pour ne pas
se compromettre ? Et comment se débarrasser de la
tante ? |
361 |
III, 2 |
Mme Dambreuse détourne
la tête à la vue de Martinon. |
362 |
III, 2 |
Madame
Dambreuse invite de Cisy à prendre le bras de
Cécile et à voix basse traite Martinon de
« misérable ». |
363 |
III, 2 |
À table, Martinon
s’arrange pour se mettre à côté de Cécile. |
363 |
III, 2 |
Martinon
est beaucoup plus habile que Cisy pour flatter
Cécile. |
365 |
III, 2 |
Martinon parle du duel
pour déconsidérer Cisy auprès de Cécile et vanter
Frédéric aux yeux de Mme D. |
365 |
III, 2 |
Martinon
attaque Cisy sur le portrait de Rosanette. |
366 |
III, 2 |
Frédéric est étonné de
la bienveillance inhabituelle de Martinon à son
égard. |
366 |
III, 2 |
Martinon
prône Frédéric auprès de Mme Dambreuse. |
368 |
III, 2 |
Négligeant les
coquetteries de Mme Dambreuse, il est tout occupé
de Cécile. |
368 |
III, 2 |
À la
fin de la soirée, l’attitude de Cécile montre que
Martinon l’a emporté sur son rival. |
370 |
III, 2 |
Face aux objections de
Mme D. sur son mariage avec Cécile, Martinon
déclare qu’il attendrait. |
382 |
III, 3 |
Martinon
indique à Frédéric comment plaire à Mme Dambreuse. |
382 |
III, 3 |
À l’hôtel Dambreuse,
succursale intime du parti de l’ordre, Martinon
s’emploie à rallier de jeunes bourgeois. |
383 |
III, 3 |
Poussé
par sa femme, M. Dambreuse met Martinon à
l’épreuve, prétendant que Cécile n’a aucune
richesse. Martinon, par flair ou coup de génie,
maintient sa demande. |
385 |
III, 3 |
Mariage de Martinon
avec Cécile en mai 1850. Il n’y a pas de bal. Les
jeunes gens partent le soir même pour l’Italie. |
385 |
III, 3 |
Les
époux Martinon sont les bénéficiaires de la
vengeance de Mme Dambreuse et de Deslauriers
contre Mme Arnoux. |
428 |
III, 5 |
Martinon est maintenant
sénateur. |
442 |
III, 7 |
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