| La petite Louise
Roque a pleuré pour être dans la voiture ramenant
Frédéric à Nogent. |
45 |
I, 1 |
| Vers 1834, Roque était revenu de
Paris avec une belle blonde qui allait devenir la
mère de Louise. Sa mère la néglige, Catherine
l’aime et la protège contre les gifles de son
professeur. |
126 |
I, 6 |
| Louise a une
enfance solitaire et sauvage dans son jardin. |
126 |
I, 6 |
| Naissance d’une amitié entre Louise
et Frédéric. |
126 |
I, 6 |
| Louise s’étend sur
le lit de Mme Moreau en s’imaginant qu’elle est la
femme de Frédéric. Cela engendre des pensées qui
la troublent et dont elle va parler en confession. |
127 |
I, 6 |
| Frédéric, privé d’amour, se rejette
sur cette amitié d’enfant. Oubliant son âge, tant
son intelligence le charme, il lui fait des
lectures qui la perturbent. |
127 |
I, 6 |
| Sa mère tombe
malade. La liaison entre voisins se dénoue, au
grand plaisir de Mme Moreau. |
128 |
I, 6 |
| Sa mère meurt, ce qui ne semble être
un malheur pour personne. |
131 |
I, 6 |
| Elle est
désespérée quand Frédéric repart pour Paris et se
jette dans ses bras avec emportement. |
131 |
I, 6 |
| Selon Mme Moreau, Louise est très
changée à son avantage. |
184 |
II, 2 |
| Mme Moreau,
sensible à la fortune de M. Roque, envisage pour
plus tard, le mariage de Fr. avec Louise. |
267 |
II, 4 |
| Frédéric retourne à Nogent sur les
conseils de Deslauriers, voir par lui-même si un
mariage avec Mlle Roque pouvait être une solution
pour réparer sa fortune. |
267 |
II, 4 |
| Vive émotion de
Louise à l’arrivée de Frédéric à Nogent. C’est une
femme à présent. |
267 |
II, 4 |
| Mme Moreau vante les qualités de
Louise et la fortune dont elle héritera. |
268 |
II, 4 |
| Frédéric passe
désormais pour le « futur » de Louise. |
268 |
II, 4 |
| Deslauriers annonce à Mme Arnoux le
prochain mariage de Frédéric avec Louise. Elle en
est très affectée. |
272 |
II, 5 |
| Frédéric évoque
avec Louise leurs moments de jeux et de lecture.
Ces souvenirs d’enfance ne l’intéressent pas. |
273 |
II, 5 |
| Louise se plaint de l’aridité de son
existence sans plaisir et sans distraction. Elle
est soumise aux contraintes d’une vie de jeune
fille et a perdu sa liberté. |
273 |
II, 5 |
| Description de
Louise. Frédéric se moque du mauvais goût de sa
tenue. |
274 |
II, 5 |
| Depuis qu’elle est petite, Frédéric
est tout pour elle. Son absence l’a idéalisé. Elle
se livre ingénument au bonheur de le voir. |
275 |
II, 5 |
| En moins d’un an,
il s’est fait dans la jeune fille une
transformation extraordinaire. Elle craint que Fr.
n’ait à Paris quelque affection. |
275 |
II, 5 |
| Louise rêve d’être caressée partout
comme les poissons dans l’eau et frémit, avec des
mouvements d’une câlinerie sensuelle. |
276 |
II, 5 |
| Au cours d’une
promenade, sur un geste de Fr., Louise se comporte
« comme une vierge qui s’offrait ». |
277 |
II, 5 |
| Ne pouvant plus vivre sans lui,
Louise demande à Frédéric s’il veut être son mari.
Pris au dépourvu, Frédéric « ne demande pas
mieux ». |
277 |
II, 5 |
| Pour Frédéric seul
à Paris, l’idée du mariage avec Louise paraît
acceptable. Sortie de son milieu, elle ferait une
compagne charmante. |
279 |
II, 6 |
| Pour ne plus perdre de temps dans
des passions infructueuses, Frédéric hésite à
aller chez Arnoux pour remplir une commission dont
Louise l’a chargé. |
279 |
II, 6 |
| Pendant les
journées révolutionnaires de juin, Louise vient à
Paris, pour voir Frédéric. Mais elle fait croire à
son père qu’elle a fait le voyage car elle était
inquiète pour lui. |
359 |
III, 1 |
| Catherine n’a pas trouvé Frédéric
chez lui, ce qui bouleverse Louise. |
359 |
III, 1 |
| À l’occasion d’un
dîner chez Dambreuse, Louise retrouve Frédéric qui
l’a évitée soigneusement toute la semaine. |
361 |
III, 2 |
| Frédéric est rebuté par le peu
d’élégance de Louise. Elle l’observe de loin. |
364 |
III, 2 |
| Louise apprend le
duel de Frédéric. |
365 |
III, 2 |
| Elle a vu le portrait de Rosanette,
propriété de M. Moreau. |
366 |
III, 2 |
| Elle pense que
Frédéric l’a quittée pour Rosanette. |
366 |
III, 2 |
| Dialogue tendu au sujet de Frédéric
entre Mme Arnoux et Louise qui en conçoit défiance
et haine. |
368-369 |
III, 2 |
| Devant Mme
Dambreuse, Frédéric traite Louise de laideron. |
369 |
III, 2 |
| Frédéric jure à Louise qu’elle est
la seule qu’il aime. |
370 |
III, 2 |
| Louise veut que
Fr. la demande en mariage. Il invoque de multiples
raisons pour ne pas s’engager. |
371 |
III, 2 |
Louise part seule dans la nuit chez
Frédéric pour lui parler.
Pour justifier cette démarche inconvenante, elle
dit à Catherine : « Je suis sa femme ! Je
l’aime ! » |
372 |
III, 2 |
| Des gardes
nationaux rencontrés se permettent des remarques
grivoises sur les raisons de cette escapade
nocturne. |
373 |
III, 2 |
| Louise apprend que Frédéric découche
depuis trois mois. Elle est effondrée. |
373 |
III, 2 |
| Fr. demande à
Deslauriers de négocier avec Roque le report de
son mariage avec Louise. |
393 |
III, 4 |
| Deslauriers à Nogent gagne la
confiance de Louise en imitant les allures et le
langage de Fr. Il révèle sans les nommer
l’existence de Mme Dambreuse, de Rosanette et de
son enfant. Louise est désespérée. |
418-419 |
III, 4 |
| Nogent apprend par
Deslauriers que Frédéric va épouser Mme Dambreuse.
Louise s’enferme. Le bruit court même qu’elle est
devenue folle. |
431 |
III, 5 |
| Après sa rupture avec Rosanette et
avec Mme Dambreuse, Frédéric se souvient de Louise
et regrette de ne pas avoir saisi ce bonheur. |
435 |
III, 5 |
| Au moment où il
arrive à Nogent, Frédéric découvre le mariage de
Louise avec Deslauriers devenu préfet. |
436 |
III, 5 |
| Louise, un beau jour, s’est enfuie
avec un chanteur. |
442 |
III, 7 |
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