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| Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
| Au théâtre du Palais-Royal, Frédéric aperçoit une jeune fille blonde qui vient s’asseoir près d’Arnoux. Elle semble avoir pleuré. |
60 |
I, 3 |
| Lors de son bal costumé, Rosanette voit Delmar pour la première fois. Elle l’écoute avec admiration, elle est sous le charme. |
153 |
II, 1 |
| Elle a un entretien privé et intime dans la serre avec Delmar qui la quitte quand Arnoux arrive. Frédéric s’aperçoit qu’elle a pleuré. |
153-154 |
II, 1 |
| Pendant le repas, elle se tourne souvent vers Delmar, immobile derrière elle. |
154 |
II, 1 |
| Rosanette reçoit la visite d’une vieille dame qu’elle ne veut pas voir. Quand elle reparaît, une larme tombe sur sa joue. |
162-163 |
II, 2 |
| Rosanette regarde Frédéric d’une façon câline, presque amoureuse. |
163 |
II, 2 |
| Elle est incapable de résister à des achats, bibelots, vêtement, place de spectacle. |
173 |
II, 2 |
| Elle passe d’une idée à une autre et change d’humeur rapidement. |
174 |
II, 2 |
| Rosanette a des attentions de séduction pour Frédéric, en particulier si Delmar est présent. |
177 |
II, 2 |
| Rosanette fond en larmes quand Frédéric a un geste non équivoque à son égard. Elle y voit du mépris. |
178 |
II, 2 |
| Rosanette accepte de se faire peindre par Pellerin, car elle se voit au milieu du Grand Salon, à la place d’honneur, avec une foule devant elle. |
179 |
II, 2 |
| Elle goûte avec plaisir les compliments que lui fait Pellerin. |
180 |
II, 2 |
| Frédéric présente Rosanette à son ami Cisy. Il est reçu plus sobrement qu’autrefois, Delmar est présent. |
202 |
II, 3 |
| Rosanette, fascinée par Delmar, a rompu avec Oudry sans se soucier de l’argent. |
203 |
II, 3 |
| Rosanette n’est pas satisfaite de la manière dont elle est aimée, par le Prince ou par d’autres. |
283-284 |
II, 6 |
| Les femmes, selon Rosanette, sont nées exclusivement pour l’amour ou pour élever des enfants. |
333 |
III, 1 |
| Rosanette découvre, en voyant une breloque de son bracelet, que la Vatnaz a une liaison avec Delmar. Elle pâlit extraordinairement. |
333-334 |
III, 1 |
| Elle est bouleversée, tremble et verse des larmes. Frédéric comprend ainsi qu’elle aime encore le cabotin. |
334 |
III, 1 |
| À Fontainebleau avec Frédéric, Rosanette sent entrer dans son âme comme l’orgueil d’une vie plus libre, avec une surabondance de forces, une joie sans cause. |
346 |
III, 1 |
| Elle découvre des plaisirs bucoliques aux côtés de Frédéric, elle est très heureuse. |
348 |
III, 1 |
| Rosanette raconte comment sa mère a vendu sa virginité à un homme marié. |
349 |
III, 1 |
| Elle évoque une tentative de suicide dans sa jeunesse. Aujourd’hui grâce à l’amour de Frédéric, elle est heureuse. |
351 |
III, 1 |
| Elle est bouleversée par les perspectives de félicité qu’elle entrevoit avec Frédéric. Elle souhaite faire dire une messe pour que ça porte bonheur à leur amour. Elle ne comprend pas pourquoi elle lui a résisté aussi longtemps. |
352 |
III, 1 |
| Rosanette a peur que Frédéric prenne des risques en rentrant à Paris voir Dussardier blessé. Elle considère que son seul devoir est de l’aimer. |
353 |
III, 1 |
| À Paris, Rosanette et Frédéric connaissent les moments heureux et simples d’une vie de couple. |
374 |
III, 1 |
| Rosanette, en se préparant pour sortir, savoure le bonheur d’être avec Frédéric. |
374 |
III, 3 |
| Elle se fait plus langoureuse et plus ronde avec un rayonnement continu sur le visage. Frédéric la trouve changée, sans pouvoir dire de quelle façon. |
375 |
III, 3 |
| Frédéric accepte l’idée que Rosanette garde son enfant. Elle en est folle de joie. |
380 |
III, 3 |
| Sa maternité future lui donne plus de gravité, la rend plus sérieuse, même un peu triste. |
382-383 |
III, 3 |
| Elle ne veut pas demander d’argent à Frédéric pour ne pas gâter leur amour. |
383 |
III, 3 |
| Rosanette, pleine d’admiration pour Frédéric, se fait le serment de ne plus appartenir à d’autres quoi qu’il advienne, même si elle devait crever de misère. |
390-391 |
III, 3 |
| Rosanette, à la naissance de son fils, est submergée d’amour. Frédéric ne partage pas cet enthousiasme. |
405 |
III, 4 |
| Elle est heureuse dans l’établissement discret où elle a accouché. Elle est fière de susciter la jalousie des autres femmes car Frédéric est régulièrement présent. |
406 |
III, 4 |
| Elle rend visite chaque semaine à son enfant en nourrice à la campagne. Ces visites provoquent chez elle des débordements d’émotions et d’activités. |
407 |
III, 4 |
| Rosanette s’installe dans les codes d’une vie bourgeoise et rêve de mariage pour concrétiser cela, ce qui exaspère Frédéric. |
410 |
III, 4 |
| La douceur de Rosanette empêche Frédéric de se fâcher contre elle. |
411 |
III, 4 |
| Le bébé de Rosanette meurt, elle est au désespoir. |
420 |
III, 4 |
| Rosanette accepte l’idée de faire peindre un portrait de l’enfant mort, l’embaumement n’étant pas possible. |
420 |
III, 4 |
| Rosanette et Frédéric dinent, silencieux, chacun tourné vers ses pensées. |
426 |
III, 5 |
| Rosanette, bouleversée par la mort de l’enfant, projette et imagine ce qu’aurait pu être la vie de son fils décédé. |
426 |
III, 5 |
| Rosanette essaie de retenir Frédéric qui la quitte, stupéfiée par ses propos. |
430 |
III, 5 |
| Après la mort de Oudry qu’elle a épousé, Rosanette a adopté un petit garçon. |
443 |
III, 7 |
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Karelle Gautron
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