Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
Sur le bateau, portrait de Mme Arnoux en train de broder. |
40 |
I, 1 |
Une négresse amène une petite fille en larmes vers la femme qui éblouit Frédéric. Elle la prend sur ses genoux et la gronde de ne pas être assez sage pour ses sept ans. |
41 |
I, 1 |
La femme que contemple Frédéric est l’épouse d’Arnoux. Sa fille, Marthe, court vers lui et, cramponnée à son cou, lui tire les moustaches et veut voir le harpiste. |
41 |
I, 1 |
Les Arnoux vont passer un mois en Suisse. Mme Arnoux blâme son mari de sa faiblesse pour Marthe. Il répond par une gracieuseté et un geste courtois. |
42 |
I, 1 |
Mme Arnoux lit un mince volume et laisse transparaître son plaisir. |
42-43 |
I, 1 |
Mme Arnoux gronde sa fille de ne pas être aimable avec Frédéric qui lui a sauvé son châle. |
44 |
I, 1 |
À table, Mme Arnoux sourit à sa petite fille ce qui donne à son visage un air de bonté plus délicate. |
81-82 |
I, 4 |
Mme Arnoux montre à ses invités son coffret à fermoirs d’argent, cadeau de son mari qui, ému, lui donne devant le monde un baiser. |
82 |
I, 4 |
Après le dîner, elle chante une chanson italienne, accompagnée au piano. |
83 |
I, 4 |
Deslauriers a rencontré Mme Arnoux au Palais, avec un avoué. Elle s’occupe sans doute des affaires d’Arnoux ? |
93-94 |
I, 5 |
Mme Arnoux est partie à Chartres auprès de sa mère malade. |
97 |
I, 5 |
Au chevet de sa mère avec sa fille, elle tarde à revenir. |
99 |
I, 5 |
Se croyant seule chez elle, Mme Arnoux exerce sa voix. |
113 |
I, 5 |
Les invités félicitent Mme Arnoux d’avoir un si bon mari. |
114 |
I, 5 |
Frédéric discute avec Mme Arnoux de leurs goûts respectifs. Elle aime les orateurs plus que les écrivains. |
116 |
I, 5 |
Elle lui dit ses goûts sur différents sujets : les parfums, les livres d’histoire, les songes, les aventures sentimentales, la passion. |
116 |
I, 5 |
Arnoux offre à sa femme un bouquet de roses enveloppé d’une feuille de papier trouvée dans sa poche : la lettre de la Vatnaz. Mme Arnoux a lu la lettre. Elle est très irritée et jette le bouquet par la portière. |
117 |
I, 5 |
Arnoux joue avec son petit garçon de trois ans qu’il fait sauter en l’air très haut. Mme Arnoux lui reproche de secouer ainsi leur fils. |
139-140 |
II, 1 |
Scène du matin. Mme Arnoux s’occupe de son petit garçon qui pleure. |
140 |
II, 1 |
Elle s’occupe de sa fille malade. |
144 |
II, 1 |
Elle coud une chemise d’enfant, son fils à ses pieds joue avec une ménagerie de bois, Marthe écrit. |
164 |
II, 2 |
Mme Arnoux n’est pas dupe de la vie double de son mari. Elle interroge Frédéric sur le bal. |
165 |
II, 2 |
Mme Arnoux se doute des problèmes financiers de la compagnie de kaolin. |
172 |
II, 2 |
Elle apprend à lire à son fils, surveille les gammes de sa fille au piano et travaille à des ouvrages de couture. |
174 |
II, 2 |
Elle aime les voyages, le bruit du vent dans les bois et se promener tête nue sous la pluie. |
174 |
II, 2 |
Les dépenses déraisonnables d’Arnoux inquiètent Mme Arnoux. |
175 |
II, 2 |
Arnoux lui a fait signer un billet souscrit à l’ordre de M. Dambreuse, ce qui l’inquiète. |
175 |
II, 2 |
Scène de ménage : Mme Arnoux a découvert que son mari a acheté pour le 18 rue de Laval un cachemire pareil au sien. |
194-195 |
II, 2 |
Elle se plaint d’Arnoux, un homme sans délicatesse, sans dignité, sans honneur. |
198 |
III, 3 |
Ses parents sont de petits bourgeois de Chartres. C’est là qu’Arnoux l’a rencontrée et aimée éperdument. Selon elle, il l’aime encore, à sa manière. |
198 |
III, 3 |
Triste petit déjeuner après la condamnation d’Arnoux. |
201 |
II, 3 |
Arnoux l’invite à dîner à la Maison d’or. Elle se sent traitée en lorette et s’en offense. |
202 |
II, 3 |
Les Arnoux sont las l’un de l’autre, ce qui rend leur existence intolérable. |
202 |
II, 3 |
Démarche de Mme Arnoux chez Frédéric sur la demande de son mari qui n’a pas pu payer ses dettes à Dambreuse. Pour les sauver du déshonneur, elle souhaite que Dambreuse arrête les poursuites et s’apprête à vendre une petite maison qu’elle possède à Chartres. |
214 |
II, 3 |
Jugement de Mme Arnoux sur ses enfants : Eugène aura peu d’imagination mais est d’humeur caressante. Marthe a une sécheresse naturelle qui la blesse. |
214-215 |
II, 3 |
Mme Arnoux est souvent seule. L’humeur de sa fille l’a forcée à la mettre au couvent, son fils est à l’école l’après-midi, Arnoux fait de longs déjeuners avec ses amis. |
295 |
II, 6 |
Son mari entretient la Bordelaise, une ouvrière de la manufacture. Mme Arnoux ne s’en soucie guère. |
297 |
II, 6 |
Eugène est très malade. Mme Arnoux est désespérée et croit que son fils va mourir. |
304-305 |
II, 6 |
Soulagement extrême de Mme Arnoux dont le fils est sauvé. |
303 |
II, 6 |
Elle voit dans la maladie de son fils un avertissement de la Providence pour punir son amour pour Frédéric. Elle offre à Dieu le sacrifice de sa première passion, de sa seule faiblesse. |
305 |
II, 6 |
Au sortir du dîner chez Dambreuse, elle est pleine d’indulgence pour Arnoux. C’est le seul homme qui a montré pour elle pendant la soirée des sentiments honnêtes. |
371 |
III, 2 |
Arnoux fait souffrir sa femme en lui disant que Frédéric est l’amant de Rosanette, qu’il est maintenant chez elle et qu’il y passe la nuit. |
371-372 |
III, 2 |
Désaffection de Mme Arnoux pour son mari. Elle est moins douce pour lui et parfois même un peu rude |
375 |
III, 3 |
Mme Arnoux est seule. Elle prend la défense de son mari qui a besoin de se distraire après une journée de calculs. Elle arrange une veste pour sa fille qui est en pension. Les larmes lui viennent aux yeux quand elle l’évoque. |
377 |
III, 3 |
Les Arnoux habitent au fond de la Bretagne. Arnoux, presque toujours malade, semble un vieillard maintenant. Marthe est mariée à Bordeaux. Eugène est en garnison à Mostaganem. |
437-438 |
III, 6 |
Arnoux est mort. Mme Arnoux est sans doute à Rome avec son fils, lieutenant de chasseurs. |
443 |
III, 7 |