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Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
Sur le bateau, premier échange de regard entre Mme Arnoux et Frédéric. |
40-41 |
I, 1 |
Au dîner rue de Choiseul, Mme A. reconnaît tout de suite Frédéric, invité par Arnoux. |
80 |
I, 4 |
Au salon, elle vient lui parler et s’intéresse à sa vie et à ses goûts. |
82 |
I, 4 |
À la fin de la soirée, elle lui tend la main. |
83 |
I, 4 |
Elle accepte son bras pour aller faire quelques courses et l’invite à venir aux dîners du jeudi. |
100-101 |
I, 5 |
Lors d’un dîner, elle lui refuse le privilège de l’embrasser comme font les vieux amis. |
102 |
I, 5 |
Lors de sa fête à St-Cloud, elle ne comprend pas les excuses de Fr. au sujet de l’ombrelle qu’il lui offre. |
113 |
I, 5 |
Première conversation intime : Mme A. parle de ses goûts, de ses antipathies, de ce qu’elle pense des aventures sentimentales. |
116 |
I, 5 |
Le bouquet offert à sa femme par Arnoux était enveloppé dans la lettre de la Vatnaz. Mme A. s’en débarrasse, et fait signe à Frédéric de ne pas en parler. |
117 |
I, 5 |
Dans la voiture, Mme A. pleure. Marthe, allongée sur leurs genoux, reçoit un baiser de Fr., ce qui crée une sorte de complicité entre eux. |
117-118 |
I, 5 |
Frédéric, de retour à Paris, évoque la scène de la voiture. Regard triste de Mme A. |
164-165 |
II, 2 |
Mme A. se réjouit sincèrement de l’héritage de Frédéric. |
165 |
II, 2 |
Elle se dit convaincue de la bonne et solide affection de Fr. pour la famille Arnoux. |
165 |
II, 2 |
Apprenant par Fr. les ennuis financiers d’Arnoux, elle lui demande de continuer à l’en informer. |
172-173 |
II, 2 |
Elle dévoile à Fr. les folles dépenses d’Arnoux, qui lui a même fait signer un billet souscrit à l’ordre de M. Dambreuse. |
175 |
II, 2 |
Elle conseille à Fr. d’obtenir, par M. Dambreuse, une place au Conseil d’État. |
184 |
II, 2 |
Dispute entre les époux Arnoux. Elle demande l’indulgence de Fr. |
194 |
II, 2 |
Restée seule avec Fr. elle pleure et lui confie ses doléances sur son mari. |
196 |
II, 2 |
Échange muet entre eux, vécu comme un début d’adultère. |
196-197 |
II, 2 |
Mme Arnoux se plaint d’Arnoux et fait des confidences à Frédéric sur l’ensemble de sa vie. |
198 |
II, 3 |
Elle lui donne de bons conseils : travailler et se marier. |
199 |
II, 3 |
Elle le charge de s’enquérir des affaires d’Arnoux. |
202 |
II, 3 |
Quand Frédéric jure qu’il n’est pas l’amant de Rosanette, Mme A. sourit, et lui demande d’aller parfois chez elle pour voir ce qu’il en est. |
204 |
II, 3 |
Visite de Mme Arnoux chez Frédéric. |
213 |
II, 3 |
Elle lui demande d’intervenir auprès de M. Dambreuse pour qu’il arrête des poursuites contre Arnoux. |
214 |
II, 3 |
Elle s’attarde dans l’appartement et le jardin de Frédéric, promet de garder la rose qu’il lui cueille, lui jette un regard aussi doux qu’un baiser. |
214-215 |
II, 3 |
À la fabrique de Creil, elle écoute calmement les tentatives de déclaration de Frédéric. |
221 |
II, 3 |
Elle écoute en souriant les propos de Frédéric sur l’affinité des âmes, et insiste pour lui faire visiter la fabrique. |
222 |
II, 3 |
Longues explications de Mme A. sur la préparation des poteries. |
222 |
II, 3 |
Lors de la visite, elle évite le regard de Frédéric, le traite d’enfant. |
223 |
II, 3 |
Elle prend spontanément le bras de Frédéric, mais revenue dans la maison, elle adopte une attitude austère, et se tait. |
225-226 |
II, 3 |
Elle tient des propos intransigeants sur l’amour et la vertu. |
226-227 |
II, 3 |
À l’hippodrome, Mme Arnoux pâlit extraordinairement en voyant Frédéric avec Rosanette. |
234 |
II, 4 |
Après le passage de Deslauriers, qui annonce le mariage de Frédéric, Mme A. s’avoue qu’elle aime Frédéric. |
272-273 |
II, 5 |
Rencontre fortuite, dans la rue, avec Frédéric. Échange de sourire. |
284-285 |
II, 6 |
Seule dans le magasin de faïences avec Frédéric, elle ironise sur son mariage prochain avec Rosanette. |
292 |
II, 6 |
Elle accepte avec ravissement ses dénégations et ses caresses, interrompues par l’arrivée d’un commis. |
292-293 |
II, 6 |
Le lendemain, elle invoque les convenances, et, devant l’insistance de Frédéric, le conjure de sortir. |
293-294 |
II, 6 |
Elle est allée s’installer dans sa maison de campagne, à Auteuil. Cri de joie quand Frédéric arrive. |
294 |
II, 6 |
Multiples visites de Frédéric, en l’absence de tout fâcheux. Épanchements, avec la convention de ne pas s’appartenir. |
295 |
II, 6 |
Ils constatent la similitude de leurs goûts, et s’imaginent une vie entièrement consacré à l’amour. |
295 |
II, 6 |
Échange de gestes affectueux. |
296 |
II, 6 |
Insouciance et bonheur de Mme Arnoux et de Frédéric pendant ces quelques jours à Auteuil. |
296-297 |
II, 6 |
Avec le renforcement de leur amour, leurs manières sont plus convenues, leur sensibilité plus vive. Mme Arnoux s’accuse de coquetterie, mais écoute avec plaisir les serments de Frédéric. |
297 |
II, 6 |
Elle accepte le rendez-vous proposé par Frédéric rue Tronchet, non sans un mouvement de honte. |
298-299 |
II, 6 |
Maladie de son fils. Elle y voit un avertissement de la Providence, et offre à Dieu le sacrifice de son amour. |
305 |
II, 6 |
Dîner chez les Dambreuse. Grande froideur de Mme Arnoux pour Frédéric. |
363-364 |
III, 2 |
À propos du tableau de Pellerin et de son modèle Rosanette, elle accuse mentalement Frédéric de mensonge. |
366 |
III, 2 |
Visite impromptue de Frédéric qui redit son amour : Mme Arnoux rappelle la présence de Rosanette aux courses et son portrait. |
377-378 |
III, 3 |
Ivresse de la réconciliation. Sanglot de tendresse de Mme A. Ils s’étreignent. Rosanette survient. |
378 |
III, 3 |
Mme Arnoux les pousse vers la sortie. Elle a un rire aigu et déchirant. |
379 |
III, 3 |
Seize ans après, en mars 1867 : dernière visite de Mme Arnoux chez Frédéric. |
437 |
III, 6 |
Elle avoue avoir eu peur de lui, et d’elle-même. |
437-438 |
III, 6 |
« Nous nous serons bien aimés », dit-elle. La lampe éclaire ses cheveux blancs. |
439 |
III, 6 |
Dans un mélange de ravissement et de pudeur, elle écoute les paroles d’amour de Frédéric. |
440-441 |
III, 6 |
L’adieu de Mme Arnoux : elle embrasse Frédéric comme une mère, lui offre une mèche de ses cheveux blancs. Et ce fut tout. |
441 |
III, 6 |
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Nicole Sibireff
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