Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
Frédéric Moreau espère un héritage de son oncle du Havre. |
37 |
I, 1 |
Il donne un louis d’or au harpiste avec la pensée d’en obtenir une bénédiction dans sa relation future avec Mme Arnoux. |
42 |
I, 1 |
Après cette aumône, il ne possède plus un centime. |
42 |
I, 1 |
À sa majorité, Frédéric prélèvera de l’argent sur sa fortune pour faire un voyage avec Deslauriers. |
48 |
I, 2 |
Frédéric est choqué par Deslauriers qui lui conseille de se comporter comme Rastignac en fréquentant Dambreuse, un homme à millions et en séduisant sa femme. |
52 |
I, 2 |
Frédéric donne à Deslauriers les dix francs qui lui restent pour payer son dîner. |
52 |
I, 2 |
Étudiant à Paris, Frédéric supplie Deslauriers de venir habiter avec lui, en partageant ses deux mille francs de pension. |
59 |
I, 3 |
Aux bals de l’Opéra, Frédéric craint les frais considérables qu’entraînerait un souper avec un domino. |
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Invité à dîner chez Arnoux, Frédéric se lance dans des dépenses chez son tailleur, son chapelier, son bottier. |
78 |
I, 4 |
Ayant dû à deux reprises lui prêter cent écus, Deslauriers reproche à Frédéric les dépenses excessives auxquelles il se livre chez le restaurateur et chez Arnoux : tableaux, statue de Pradier, etc. |
88 |
I, 5 |
Désireux de rester à Paris pendant l’été, Frédéric demande 250 francs à sa mère pour des répétitions de droit. |
96 |
I, 5 |
Frédéric utilise la somme destinée aux répétitions pour s’acheter un pantalon, un chapeau et une badine à pomme d’or. |
96 |
I, 5 |
Frédéric vend quatre-vingts francs tous ses habits neufs et les ajoute aux cent francs qui lui restent pour inviter Arnoux à dîner. |
100 |
I, 5 |
Au retour de l’Alhambra, pour se débarrasser de Frédéric qui ne dispose que de deux pièces de cent sous, Deslauriers l’invite à chercher comme lui une conquête facile. |
109 |
I, 5 |
Frédéric emprunte 175 francs à Deslauriers pour offrir une ombrelle à Mme Arnoux. |
112 |
I, 5 |
Frédéric est atterré d’apprendre de sa mère l’état de leur patrimoine : dix mille francs de rente, dont seulement deux mille trois cents francs lui reviendraient. |
121 |
I, 5 |
Mme Moreau conseille à Frédéric de s’installer comme clerc chez un avoué. |
122 |
I, 5 |
Frédéric ne s’imagine pas fréquenter les Arnoux avec seulement trois mille francs de rente. |
123 |
I, 6 |
La visite à Nogent de l’oncle Barthélemy dissipe tout espoir d’héritage. |
128 |
I, 6 |
Le 12 décembre 1845, Frédéric apprend qu’il hérite de son oncle. |
129 |
I, 6 |
Son héritage se monte à 27.000 livres de rente. |
130 |
I, 6 |
Ivre de joie, Frédéric imagine déjà, près de Mme Arnoux, les détails extérieurs de sa nouvelle richesse : une voiture, un domestique en livrée, une maison luxueusement meublée. |
130 |
I, 6 |
Frédéric invite sa mère à partager sa joie : elle pourra racheter une voiture. |
130 |
I, 6 |
Frédéric achète trois assiettes de faïence à cent écus la pièce. |
144 |
II, 1 |
Frédéric s’installe dans un petit hôtel rue Rumfort et achète un coupé, un cheval et des meubles. |
159 |
II, 2 |
Frédéric achète des livres pour documenter des travaux futurs, court les magasins et emporte tout sans marchander. |
159 |
II, 2 |
Frédéric doit s’acquitter de 40.000 francs de dettes et de 37.000 francs de droits de succession. Il vend pour cela une partie de ses biens territoriaux. |
159 |
II, 2 |
Frédéric évoque son héritage pour se faire valoir auprès de Mme Arnoux. |
165 |
II, 2 |
Frédéric éprouve des élans de générosité auxquels il ne donne pas suite. |
165 |
II, 2 |
Frédéric invite Hussonnet, Pellerin, Dussardier, Cisy , Deslauriers et Sénécal à une pendaison de crémaillère. |
166 |
II, 2 |
Frédéric rembourse deux mille francs à Deslauriers, mais élude sa promesse de financer leur journal. |
171 |
II, 2 |
Frédéric se résigne à demander à son notaire de lui envoyer 15000 francs pour financer le journal de Hussonnet et Deslauriers. |
184 |
II, 2 |
Chez Dambreuse, Frédéric perd négligemment au jeu quinze napoléons. |
188 |
II, 2 |
Frédéric néglige la proposition de Dambreuse : une vingtaine d’actions dans son entreprise de houilles. |
202 |
II, 3 |
Frédéric va confirmer à Deslauriers l’envoi de quinze mille francs par son notaire. |
204 |
II, 3 |
Les quinze mille francs reçus, Frédéric hésite à les risquer dans le journal de Deslauriers et rêve à d’autres achats : des armures damasquinées, des peintures, des livres. |
208 |
II, 3 |
Arnoux doit rembourser dix-huit mille francs. Frédéric prétend ne pas pouvoir lui venir en aide. |
209 |
II, 3 |
Arnoux laissant planer un projet de départ avec sa famille, Frédéric, sans s’engager, le questionne sur la date de restitution de l’argent qu’il prétend pouvoir emprunter à des amis. |
209 |
II, 3 |
Arnoux assure à Frédéric pouvoir rembourser l’argent dans moins d’une semaine. Celui-ci est partagé entre la parole donnée à Deslauriers et son envie d’obliger Arnoux. |
209-210 |
II, 3 |
Frédéric hésite sur l’utilisation de son argent. Il finit par retarder le moment d’apporter ses quinze mille francs à Deslauriers. |
210 |
II, 3 |
Arnoux s’enquiert de l’arrivée de la somme. Frédéric la lui donne et assure à Deslauriers n’avoir rien reçu. |
210 |
II, 3 |
Arnoux tarde à rembourser l’argent de Frédéric. |
211 |
II, 3 |
Arnoux avoue à Frédéric ne pas pouvoir lui rendre ses quinze mille francs. Frédéric dit à Deslauriers les avoir perdus au jeu. |
211 |
II, 3 |
Pour inciter Frédéric à acheter des actions, M. Dambreuse lui explique le fonctionnement de l’Union générale des Houilles françaises dont il est directeur. |
216 |
II, 3 |
Frédéric décide de vendre une ferme pour prendre soixante mille francs d’actions comme le lui conseille M. Dambreuse. |
217-218 |
II, 3 |
Au Café Anglais, Frédéric s’acquitte de la longue note et, à son grand déplaisir, doit payer le fiacre qu’il a commandé pour ramener les chiens de Rosanette. |
240-241 |
II, 4 |
Froissé par l’attitude de Rosanette, Frédéric imagine de jouer le prix de sa ferme à la Bourse pour écraser tout le monde de sa richesse et son luxe. |
241 |
II, 4 |
Frédéric refuse de payer les mille écus que Pellerin réclame pour le portrait de Rosanette. |
242 |
II, 4 |
Frédéric reçoit pour la vente de sa ferme cent soixante-quatorze mille francs : il en place une moitié sur un emprunt d’Etat, et risque l’autre moitié à la Bourse. |
244 |
II, 4 |
Frédéric perd une créance sur une propriété d’Arnoux, largement hypothéquée. |
244 |
II, 4 |
Frédéric éprouve d’abord du ressentiment contre Arnoux, puis se résigne à oublier l’affaire. |
244 |
II, 4 |
Frédéric refuse de payer les cinq mille francs réclamés par Hussonnet pour lancer son journal. |
244-245 |
II, 4 |
Jugeant le moment inopportun, Frédéric renonce à rappeler à Arnoux les quinze mille francs qu’il lui a prêtés. |
257 |
II, 4 |
Les actions du Nord lui rapportant trente mille francs, Frédéric reprend confiance dans ses capacités à gérer seul sa fortune. |
260 |
II, 4 |
Frédéric perd soixante mille francs dans les actions du Nord. Pour compenser cette baisse de revenus, il doit restreindre sa dépense, ou prendre un état, ou faire un beau mariage. |
267 |
II, 4 |
Deslauriers s’indigne contre Frédéric qui fait un usage si pitoyable de sa grande fortune. |
269 |
II, 5 |
Frédéric achète 500 frs. le tableau de Pellerin, qu’il trouve abominable. |
290 |
II, 6 |
Frédéric ne retourne pas chez Dambreuse et abandonne l’affaire des houilles sur les conseils de Deslauriers. |
291 |
II, 6 |
Rosanette reproche à Frédéric d’avoir fait un don patriotique de trois cents francs pour la République. |
332 |
III, 1 |
Frédéric prend largement à sa charge les frais d’installation de Rosanette dans son nouvel appartement. |
335 |
III, 1 |
Pour se rendre à Paris, Frédéric loue pour soixante francs un mauvais cabriolet. |
354 |
III, 1 |
Frédéric subvient aux frais du ménage chez Rosanette. Mais la fréquentation des Dambreuse entraîne des sacrifices considérables. |
383 |
III, 3 |
Frédéric songe à tout ce que pourra lui apporter l’héritage de M. Dambreuse : attelages, galerie de tableaux, salle de bains turcs. |
398 |
III, 4 |
Frédéric accomplit les démarches nécessaires au règlement des obsèques de M. Dambreuse. |
399 |
III, 4 |
Frédéric s’occupe en détail des dernières formalités pour les obsèques de M. Dambreuse. |
399-400 |
III, 4 |
Déçu de ce que Mme Dambreuse n’hérite que de cinquante mille livres de rentes, Frédéric abandonne ses rêves de grande vie et l’assure néanmoins de sa fidélité. |
404 |
III, 4 |
Rosanette ne peut rien tirer d’une promesse écrite d’Arnoux. Frédéric trouve indécent d’intervenir auprès de lui. |
412-413 |
III, 4 |
Frédéric prétend n’avoir pas trouvé Arnoux. Malgré sa promesse de demander de l’argent à son notaire, Rosanette s’emporte. |
414 |
III, 4 |
Informé par la Vatnaz de la situation de Rosanette, Dussardier donne à Frédéric quatre mille francs, que celui-ci refuse dans un premier temps, puis accepte. |
417 |
III, 4 |
Frédéric est agacé par le sans-gêne de Deslauriers auquel il prête de l’argent et qu’il habille chez son tailleur. |
418 |
III, 4 |
Hussonnet apprend à Frédéric qu’Arnoux, menacé de ruine, doit trouver 12000 frs. |
421 |
III, 4 |
Frédéric, angoissé à l’idée de ne plus revoir Mme Arnoux, est saisi par l’urgence de trouver ces douze mille francs. |
423 |
III, 5 |
Frédéric demande à Mme Dambreuse de lui prêter douze mille francs. |
423 |
III, 5 |
Regimbart explique à Frédéric les raisons de la dette d’Arnoux. Frédéric lui annonce disposer des douze mille francs qu’on exige de lui. |
425 |
III, 5 |
Frédéric vient rapporter à Mme Dambreuse les douze mille francs qu’elle lui a prêtés. Sur un ton de persiflage, elle le prie de les garder, en cas de besoin pour son ami. |
427-428 |
III, 5 |
Mme Dambreuse a acheté 1000 frs. le coffret d’argent mis aux enchères lors de la vente du mobilier d’Arnoux. Frédéric, indigné par ce sacrilège, rompt avec elle. |
434 |
III, 5 |
Frédéric décommande plusieurs achats faits en prévision de son mariage qu’il considère maintenant comme une spéculation un peu ignoble. |
434 |
III, 5 |
En 1868, Frédéric a dépensé les deux tiers de sa fortune et vit en petit bourgeois. |
442 |
III, 7 |