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Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
Deslauriers n’assiste pas aux offices du dimanche et tient des discours républicains chez Mme Moreau. |
49 |
I, 1 |
Il ne s’occupe plus de métaphysique. Il est préoccupé par l’économie politique et la Révolution française. |
50 |
I, 1 |
Deslauriers prédit un nouveau 89 et souhaite avoir un journal ou une tribune pour secouer les constitutions, les chartes, les subtilités, les mensonges. |
51 |
I, 1 |
Il regrette de n’avoir pas su briller à l’Alhambra devant Arnoux, un directeur de journal. |
108 |
II, 5 |
Exprimant des opinions politiques extrêmes, Deslauriers échoue à l’agrégation de droit. |
141-142 |
II, 1 |
Deslauriers s’indigne de la misère sociale et des injustices. Il espère qu’elles seront abolies à la prochaine révolution. |
142 |
II, 1 |
Deslauriers veut transformer le journal d’Arnoux, racheté par Hussonnet, en journal politique. |
143 |
II, 1 |
Nostalgique de la Révolution de 89, Deslauriers est néanmoins confiant dans le retour de ses idéaux. |
143-144 |
II, 1 |
Deslauriers ménage Sénécal, escomptant le manipuler lors du prochain bouleversement politique. |
166 |
II, 2 |
Il rejette l’aspect religieux des socialismes utopiques : Fourier qui croit à la vengeance divine, et Saint-Simon avec sa haine de la Révolution française. |
168 |
II, 2 |
Il souhaite la destruction de l’ordre actuel et de tout ce qu’on nomme Privilège, Monopole, Direction, Hiérarchie, Autorité, État. |
169-170 |
II, 2 |
Il accueille avec un mauvais sourire l’hésitation de Frédéric à financer son journal. |
171 |
II, 2 |
Les échecs successifs de Deslauriers ne font qu’aviver son désir de posséder un journal où il pourrait s’étaler, se venger, cracher sa bile et ses idées. |
182 |
II, 2 |
Deslauriers expose son plan à Frédéric pour transformer la feuille de Hussonnet en journal politique : quinze mille francs seraient nécessaires. |
182-183 |
II, 2 |
Frédéric se résigne à débloquer quinze mille francs pour le journal. Deslauriers le félicite de ce qu’il juge une bonne spéculation. |
184 |
II, 2 |
Pour Deslauriers, il serait temps de traiter la Politique scientifiquement. Il dénonce la persistance de la religion dans la politique et la tyrannie du Code civil. |
204-205 |
II, 3 |
Parce qu’ils reposent à ses yeux sur la même idolâtrie de l’Autorité, Deslauriers critique tous les systèmes. |
205-206 |
II, 3 |
Dans son futur journal, où toutes les institutions seraient attaquées, Deslauriers rêve d’exercer son autorité comme rédacteur en chef et de manipuler l’opinion. |
206-207 |
II, 3 |
Les haines de Deslauriers deviennent de plus en plus en plus radicales. Si rien ne change pour lui, il pense s’embarquer pour l’Amérique ou se faire sauter la cervelle. |
285-286 |
II, 6 |
Il critique les errements de la politique extérieure et intérieure. |
287 |
II, 6 |
Il dénonce les jésuites nouvellement installés à Lille. |
288 |
II, 6 |
Il énumère les nombreuses atteintes à la liberté de la presse. |
288-289 |
II, 6 |
Il ambitionne de constituer une phalange dont il serait le chef. |
291 |
II, 6 |
Février 48 : Deslauriers a obsédé Ledru-Rollin pour en arracher une place. Il est nommé commissaire en province. |
317 |
III, 1 |
Deslauriers a été rejeté par les conservateurs et par les socialistes pour avoir prêché la fraternité et le respect des lois.
Destitué brutalement après Juin, il s’est jeté dans le complot des armes saisies à Troyes. Relâché, faute de preuves, le comité d’action l’a envoyé à Londres. |
387-388 |
III, 3 |
Les démocrates ont repoussé l’aide qu’il leur proposait. Il vit dans une grande pauvreté. |
388 |
III, 3 |
Deslauriers dénonce l’opportunisme et la vénalité des ouvriers, qu’il déteste. |
388-389 |
III, 3 |
Il suggère à Frédéric de se présenter aux prochaines législatives et offre de contacter ses réseaux. |
389-390 |
III, 3 |
Deslauriers donne à Dambreuse des conseils avisés pour opérer légalement la fusion des compagnies de houille, et donner à l’entreprise une couleur démocratique. |
392 |
III, 4 |
Deslauriers a rédigé la lettre pour les journaux où M. Dambreuse approuve la candidature de Frédéric. |
392 |
III, 4 |
Deslauriers est préfet lorsqu’il épouse Louise Roques à Nogent. |
436 |
III, 5 |
Compromis dans sa préfecture par des excès de zèle gouvernemental, Deslauriers est destitué. Il est ensuite chef de colonisation en Algérie, secrétaire d’un pacha, gérant d’un journal, courtier d’annonces et finalement employé au contentieux dans une compagnie industrielle. |
442 |
III, 7 |
Deslauriers fait avec Frédéric le bilan de leur vie et pense avoir péché par excès de rectitude. |
443-444 |
III, 7 |
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Danielle Girard et Philippe Lavergne
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