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Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
En 1833, à 15 ans, Charles entre au collège de Sens avec une demi-bourse obtenue par son père. |
47 |
I, 2 |
Il est entouré de malveillance à cause de sa pauvreté et se bat férocement avec un domestique qui l’a appelé « enfant de gueux ». |
47 |
I, 2 |
Frédéric et Deslauriers font le projet d’un grand voyage quand ils seront sortis du collège, avec l’argent de Frédéric. |
48 |
I, 2 |
Pour concourir plus tard pour une chaire de professeur à l’École de droit, Deslauriers accepte à Troyes une place de maître clerc chez un avoué.
Il pourra ainsi, à force de privations, économiser quatre mille francs et réaliser ce projet. |
49 |
I, 2 |
À 22 ans, il est maigre et pauvre. Il porte un mauvais paletot, il est venu à pied depuis Villenauxe pour voir Frédéric. |
50 |
I, 2 |
Deslauriers maudit sa condition de jeune homme pauvre, fils d’un cabaretier. |
51 |
I, 2 |
Deslauriers conseille à Frédéric de fréquenter Dambreuse, un homme riche à millions chez qui il pourra l’introduire plus tard. |
52 |
I, 2 |
Deslauriers espère faire « rendre gorge à son filou de père. »
Il demande cent sous à Frédéric pour payer son dîner. |
52 |
I, 2 |
Fort en procédure, Deslauriers a enfin arraché l’héritage de sa mère : sept mille francs, qu’il garde en réserve et compte placer. |
78 |
I, 4 |
Tandis que Frédéric essaye une splendide paire de bottes, Deslauriers a honte de ses vieux souliers à cordons, qu’il rentre sous sa chaise. |
78-79 |
I, 4 |
Deslauriers a une piètre opinion des riches. |
79 |
I, 4 |
Deslauriers a obtenu une place de second clerc chez un avoué. Il a pris à l’École de droit son inscription et acheté les livres indispensables. |
87 |
I, 5 |
Deslauriers vit chez Frédéric, qui subvient à toutes les dépenses. |
87 |
I, 5 |
Deslauriers ambitionne la richesse, comme moyen de puissance sur les hommes. |
88 |
I, 5 |
À deux reprises, Frédéric emprunte cent écus à Deslauriers qui lui reproche ses dépenses excessives chez le restaurateur et chez Arnoux. |
88 |
I, 5 |
Sur les instances de Frédéric, Deslauriers prend encore 175 francs sur sa réserve. |
112 |
I, 5 |
Deslauriers rêve de voir Frédéric fonder un journal, avec l’argent de son patrimoine qu’il va bientôt toucher. |
119 |
I, 5 |
Deslauriers a échoué à l’agrégation. Pour se consacrer au grand ouvrage qu’il prépare, il s’est démis de sa place de maître-clerc. Il vit en donnant des répétitions et en fabriquant des thèses. |
142 |
II, 1 |
Deslauriers s’associe d’emblée à la fortune de son ami, ce qui déplaît à Frédéric. |
142 |
II, 1 |
Il veut transformer en journal politique le journal d’Hussonnet et propose à Frédéric de participer à son financement. |
143 |
II, 1 |
Deslauriers reçoit deux mille francs de Frédéric, reliquat de ses vieilles dettes. Mais sans remercier, il reparle du Journal. |
171 |
II, 2 |
Après différents échecs comme répétiteur, Deslauriers revient à son rêve de journal et a circonvenu Hussonnet dans cet espoir. |
182 |
II, 2 |
Son plan pour le journal : obtenir par relation avec des financiers les cent mille francs de cautionnement indispensables pour transformer la feuille en journal politique. Trouver une large clientèle, ce qui nécessite un investissement de quinze mille francs, que Frédéric pourrait fournir. |
182-183 |
II, 2 |
Frédéric, par lassitude, cède à Deslauriers et demande à son notaire de lui envoyer quinze mille francs. |
184 |
II, 2 |
Deslauriers se réjouit de l’annonce de l’arrivée imminente des quinze mille francs et expose immédiatement ses projets pour le Journal. |
204 |
II, 3 |
Frédéric a donné à Arnoux les 15000 fr. promis à Deslauriers. Il lui dit qu’il les a perdus au jeu. |
211 |
II, 3 |
Deslauriers envisage de poursuivre Arnoux, pour récupérer les 15000 francs. |
266 |
II, 4 |
Deslauriers, las de sa misère, pense à demander à Dambreuse la place de secrétaire proposée à Frédéric. Mais il faut pour cela acheter des actions. |
269 |
II, 5 |
Comment s’y prendre pour recouvrer les quinze mille francs ?
Deslauriers envie la fortune de Frédéric et des pensées haineuses l’envahissent. |
269 |
II, 5 |
Frédéric, devenu l’amant de Madame Dambreuse, rencontre Deslauriers, accablé par la pauvreté et les échecs. |
387 |
III, 3 |
Deslauriers donne à Dambreuse des conseils avisés pour fusionner ses compagnies houillères, sous couleur démocratique. Dambreuse lui confie des notes pour rédiger un mémoire, sans dire comment il le paierait. |
392 |
III, 4 |
Après la mort de Dambreuse, Deslauriers offre à Madame Dambreuse ses services comme homme d’affaires. |
406 |
III, 4 |
Deslauriers dit à Frédéric qu’il a négocié une étude d’avoué à Nogent. |
411 |
III, 4 |
Chez Rosanette, Deslauriers prend ses aises et se fait entretenir par Frédéric |
418 |
III, 4 |
Hiver 1868-69. Deslauriers raconte à Frédéric les multiples fonctions qu’il a exercées après sa destitution de son poste de préfet : chef de colonisation en Algérie, secrétaire d’un pacha, gérant d’un journal, courtier d’annonces, pour être finalement employé au contentieux dans une compagnie industrielle. |
442 |
III, 7 |
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Nicole Sibireff
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