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Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
En septembre 1840, sous la monarchie de Juillet, Arnoux se présente à Frédéric comme étant républicain. |
39 |
I, 1 |
Arnoux trouve qu’on doit respecter la religion. |
154 |
II, 1 |
Février 1848. Il fait partie de la garde nationale. |
303 |
II, 6 |
24 février 1848 aux Tuileries. Hussonnet aperçoit Arnoux qui se débat avec acharnement parmi les gardes nationaux pour empêcher les émeutiers de tout détruire. |
315 |
III, 1 |
Arnoux ne quitte plus l’uniforme et se signale par son courage. Il défend le Pouvoir et espère la fusion des partis. |
335-336 |
III, 1 |
Tous les soirs, il fait son examen de conscience et offre son âme à Dieu.
Il est optimiste en ce qui concerne la République. |
339 |
III, 1 |
Le 15 mai 1848, sans le secours d’Arnoux, Dambreuse serait mort étouffé par les gens de l’émeute. |
341 |
III, 1 |
Chez Dambreuse, parmi les conservateurs, Arnoux tâche d’établir qu’il y a deux socialismes, un bon et un mauvais. |
366 |
III, 2 |
Les conservateurs portent des jugements irrévocables sur les événements. Mais Arnoux est le seul à y avoir participé. |
367 |
III, 2 |
Pour remettre ses affaires à flot, Arnoux veut établir un café chantant, où l’on ne chanterait que des œuvres patriotiques. Le projet échouant, il rêve de créer une grande chapellerie militaire. |
375 |
375 |
Arnoux « qui a toujours eu un fond de religion » tient un commerce d’objets religieux. |
413-414 |
III, 4 |
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Danielle Girard
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