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Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
Sur le bateau, Arnoux conte des galanteries à une paysanne tout en maniant la croix d’or qu’elle a sur la poitrine. |
38 |
I, 1 |
Arnoux donne des conseils à Frédéric à propos des femmes : il expose ses théories, narre des anecdotes et se cite en exemple. |
38-39 |
I, 1 |
Arnoux est au théâtre du Palais-Royal avec deux femmes. L’une cause familièrement avec lui. Lorsque la seconde les rejoint, Arnoux lui parle à demi penché sur son épaule. |
60-61 |
I, 3 |
Hussonnet insinue qu’Arnoux connaît la plupart des filles de Paris. |
69 |
I, 4 |
Selon Pellerin, Arnoux a plusieurs maîtresses. |
73 |
I, 4 |
Frédéric cherche un calepin qu’il a égaré : Arnoux suppose immédiatement qu’il y range ses lettres de femmes. |
77 |
I, 4 |
Arnoux brille lors d’une conversation très libre et cynique entre hommes à propos des femmes. |
82 |
I, 4 |
Arnoux reçoit quelqu’un chez lui en l’absence de son épouse. Il est fort contrarié par l’arrivée de Frédéric. |
97 |
I, 5 |
Frédéric brise accidentellement une ombrelle. Il croit que c’est celle de Mme Arnoux, ce qu’Arnoux accueille avec un singulier sourire. |
97 |
I, 5 |
Arnoux est accouru à l’Alhambra pour entretenir Mlle Vatnaz d’une affaire urgente, sans doute en rapport avec une femme. Vatnaz le rassure en lui affirmant qu’il est aimé. |
105 |
I, 5 |
Arnoux demande à Vatnaz de l’embrasser. Elle le prend par les oreilles et l’embrasse sur le front. |
105 |
I, 5 |
Arnoux presse Frédéric de questions sur sa vie amoureuse, et le blâme de ne pas avoir de maîtresse connue. |
107-108 |
I, 5 |
Tous les ans, au printemps, Arnoux va à la campagne et batifole avec les villageoises. |
112 |
I, 5 |
Vatnaz doit remettre d’urgence une lettre à Arnoux. Frédéric s’offre pour lui porter, et elle le conjure de la lui remettre sans témoins. |
112-113 |
I, 5 |
L’ombrelle brisée par Frédéric n’appartenait pas à Mme Arnoux. |
113-114 |
I, 5 |
Frédéric, soupçonne quelque histoire de femme dans la lettre de Mlle Vatnaz, et admire l’aisance d’Arnoux à inventer des prétextes pour déguerpir. |
114 |
I, 5 |
Arnoux veut embrasser Rosanette, qui le repousse. |
145 |
II, 1 |
Dans la cuisine de Rosanette, Arnoux tutoie les domestiques et rigole avec la bonne. |
153 |
II, 1 |
Selon la Vatnaz, Arnoux a maintes fois pardonné et fait des sacrifices pour Rosanette. |
193 |
II, 2 |
Arnoux affirme à sa femme que la Maréchale n’est plus sa maîtresse mais celle de Frédéric. |
203 |
II, 3 |
Arnoux demande à Frédéric de faire en sorte Mme Arnoux croie qu’il est l’amant de Rosanette. |
204 |
II, 3 |
Dans les rues de Paris avec Frédéric, Arnoux s’arrête parfois pour voir la figure des grisettes aux carreaux des boutiques. |
211 |
II, 3 |
À Creil, Arnoux a levé, devant tout le monde, l’amende que Sénécal avait infligée à la Bordelaise. |
242-243 |
II, 4 |
Arnoux préfère maintenant les jeunes femmes et les ouvrières. Selon lui, on ne doit pas traiter les femmes sérieusement. |
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Arnoux entretient la Bordelaise, une ouvrière de sa manufacture. |
297 |
II, 6 |
Frédéric et Arnoux se rencontrent sur le seuil de Rosanette. Ils sont tous les deux gênés et tentent de justifier leur présence. |
335 |
III, 1 |
Frédéric et Arnoux montent la garde à la mairie du XVIIe. Arnoux s’endort sur un lit de camp en murmurant des mots d’amour. |
337 |
III, 1 |
Arnoux, lorsqu’il est devenu entreteneur de Rosanette par l’entremise de la Vatnaz, s’est montré excellent avec elle. |
351 |
III, 1 |
Tout à ses amours séniles, Arnoux est exploité par la Bordelaise, qui a trois autres amants. |
375 |
III,3 |
Regimbart pense que c’est le cotillon qui a perdu Arnoux. |
425 |
III, 5 |
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Anne Perthuis-Lejeune et Danielle Girard
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