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1866. comme il était seul
Douze après, un soir du mois de mars, à la nuit tombante, tout à coup
de son cabinet dans son cabinet
une femme entr'ouvrit la portière de son cabinet & entra.
Puis [illis.] poussèrent un
Il ne la reconnut pas d'abord. - Puis tous deux à la fois poussèrent
cri
un cri — c’est vous
Elle doucement par les deux
Elle le prit par les deux mains, l'attira vers la fenêtre & elle le
doucement
considérait, en répétant — « c'est donc lui ! c'est donc lui ! »
à la lueur du des demi- ténèbres Frédéric n'apercevait
Le crépuscule ne pouvait voir
Le crépuscule-emplissait l'appartement & il n'apercevait que
ses yeux toujours beaux, sous la petite dent volette de dentelles noires qui
lui cachait la figure.
Quand elle eut déposé
Elle déposa sur la cheminée un petit portefeuille de velours, rouge brodé
elle
d'or ... puis s'assit & ils
& Alors ils restèrent d'abord sans pouvoir se parler, tremblant un
[ illis.] larmes aux
peu les paupières & se souriant l'un à l'autre.
tout de suite
Il lui fit plusieurs questions, coup sur coup.
qu’EIIe & son mari
Elle lui conta sa vie depuis leur séparation. Elle et son mari
vivaient bien loin ... à X où ils s'étaient
s'étaient réfugiés en Bretagne pr faire des économies. Arnoux était
paralysé avait 90 ans fâchée avec elle, la néglige
était à X par-dessus* du reste
tombé en enfance Sa fille mariée, son fils au régiment
un ingénieur
de sorte qu'elle était tout à fait seule
bien malheureuse n'importe ! Je vous revois !
puis elle soupire de joie & n'importe
son visage s'éclaircit
Frédéric la questionna sur son départ & il lui dit
était accouru il était accouru chez
lui dit qu'il avait été chez eux, à la nouvelle de leur catastrophe eux
que le jour même de leur départ
— Oh je le sais
—Pourquoi donc ?
— Comment
— Qui vous l’a dit ?
— Personne
elle l’avait entendu venir
Mme Arnoux lui avoua qu’elle s’était cachée de lui exprès
— Pourquoi ? ineffable
Vous Vous ne devinez pas? [illis.] Son regard & son sourire
voulurent dire j’avais
peur de baiser avec vous
de céder.
vous |