Le rire de Sylvie lorsque le narrateur tente de rapprocher Aurélie d'Adrienne manifeste l'échec définitif dans toute volonté de marier les chimères au réel. La révélation, gardée pour les dernières lignes, de la mort déjà lointaine d'Adrienne la donne pour jamais au narrateur, et l'on est en droit de penser que la vraie fin de Sylvie n'est pas la promenade du vieil ami au bras d'une consternante Lolotte : c'est Aurélia et la Vieille-Lanterne où le malheureux dénouera son drame.